Yanick Bourrel - Expositions

EXPOSITIONS - SALONS

1996

Caillouet orgeville (Eure) – Prix du jury

BOULOGNE –BILLANCOURT (Haut de Seine) groupe Renault Prix du jury

1997

CHARTRES (Eure et Loir)

DREUX (Eure et loir)

Salon de la ville d’EVREUX (Eure)

Salon du LION’S EVREUX (Eure)

2003

Salon de BRETEUIL SUR ITON (Eure)

2004

Salon de BRETEUIL SUR ITON (Eure)

Salon de la ville de L’AIGLE (Orne) 2^ième au prix du jury

Salon de la ville de ROUEN (Seine Maritime)

2005

Salon de la ville de VIROFLAY (Yvelines)

Salon de BRETEUIL SUR ITON (Eure)

Salon de la ville de L’AIGLE (Orne) 2^ième au prix du jury

Salon de la ville d’ELBEUF (Seine Maritime)

2006

Salon de BRETEUIL SUR ITON (Eure)

Salon de la ville de L’AIGLE (Orne)

Salon de la ville d’ELBEUF (Seine Maritime)

2007

Salon de la ville d’ELBEUF (Seine Maritime)

Salon de Bernay (Eure)

2008

Salon de la ville d’ELBEUF (Seine Maritime)

Salon de Deauville (Calvados)

Salon de Bernay (Eure)

2009

Salon de la ville de L’AIGLE (Orne)

Salon de Bernay (Eure)

Salon de BRETEUIL SUR ITON (Eure)

Salon CREA Saint OUEN de THOUBERVILLE (Eure)

2010

Salle du Parc BARNEVILLE CARTERET (Manche)

On a du mal à croire que cet artiste accompli ne s'adonne profondément à la peinture que depuis une dizaine d'années seulement. On ne peut être que bluffé par sa maîtrise. non pas pour sa technique, ou plus exactement pas seulement, mais aussi pour cette magnifique leçon de peinture. Yanick Bourrel esquisse ses ébauches au crayon, fusain ou pastel. Laissant visibles par endroits les traits nerveux de sa construction, le peintre pose la couleur en touches généreuses. Elles s'affichent en une jouissante palpitation chromatique. Une vibration charnelle. Yanick Bourrel aborde le nu féminin ou masculin, par des cadrages très personnels. Certains plans rapprochés nous conduisent vers l'abstraction, au cœur de la matière. Difficile de ne pas partager la réflexion d'Alain Desplanques qui s'est dit "admiratif de la force que Yanick Bourrel donne à ses peintures. Une force énorme dans la couleur, les formes et cette approche si personnelle ses corps.

Xavier EVENARD (La presse de la Manche du 28 septembre 2010)

EXPOSITIONS PERMANENTES

Galerie RAMBAULT ST TROPEZ (Var) - Années 1997-1998-1999-2000

Galerie RAMBAULT VINCENNES (Val de Marne) Années 1997-1998-1999-2000

Centre culturel de SAINT GERMAIN DES ANGLES Eure Années 2002-2003

On a du mal à croire que cet artiste accompli ne s'adonne profondément à la peinture que depuis une dizaine d'années seulement. On ne peut être que bluffé par sa maîtrise. non pas pour sa technique, ou plus exactement pas seulement, mais aussi pour cette magnifique leçon de peinture. Yanick Bourrel esquisse ses ébauches au crayon, fusain ou pastel. Laissant visibles par endroits les traits nerveux de sa construction, le peintre pose la couleur en touches généreuses. Elles s'affichent en une jouissante palpitation chromatique. Une vibration charnelle. Yanick Bourrel aborde le nu féminin ou masculin, par des cadrages très personnels. Certains plans rapprochés nous conduisent vers l'abstraction, au cœur de la matière. Difficile de ne pas partager la réflexion d'Alain Desplanques qui s'est dit "admiratif de la force que Yanick Bourrel donne à ses peintures. Une force énorme dans la couleur, les formes et cette approche si personnelle ses corps.

Xavier EVENARD (La presse de la Manche du 28 septembre 2010)

2014

Maison des Arts de Conches 27190

Fragments de corps

Yanick Bourrel où le peintre obsessionnel expose ses bombes à fragmentation. Accrochés façon puzzle aux quatre coins de la salle, ses tronçons d’entrecuisses, ses parcelles anatomiques, sont beaux comme des Rubens découpés dans un ciel de Boudin, comme des baigneuses de Renoir. On entrevoit l’origine du monde sans voir, on devine sans rougir devant cette mosaïque de corps à l’abandon, de morceaux de chair sans tête, de fragments de seins, de commencement de verges. Juste assez pour choquer le jury en haut- de- forme d’un salon d’automne au Grand Palais en 1905.Et le bigot de passage qui n’aura sans doute pas la force de pousser plus avant.

C G La Dépêche

29-10-2014 Les Affiches de NORMANDIE

Culture : Actualités des Arts

MAISON DES ARTS DE CONCHES LE CORPS HUMAIN REVISITE

Temporairement congédié de certains discours artistiques, le corps humain semble revenir en force, témoin cette surprenante exposition réunissant les peintes Karl Sébastien Bigot, Yanick Bourrel et le sculpteur Georges Goupy à la maison des Arts de Conches. Si une certaine connivence existe entre ces trois hommes, leurs manières d’aborder le sujet les distingue perceptiblement Karl -Sébastien Bigot revisite la mythologie avec une empoignante violence expressionniste. Yanick Bourrel explore la chair et ses méandres à bout portant, tout en préservant la part énigmatique.Quant à Georges Goupil fait de la ligne géométrique l’argument d’une quête rigoureuse mais nullement dénuée d’intérêt où l’on reconnait sans peine l’humanité.

Pour Yanick Bourrel, avec qui nous avons longuement discuté, le corps humain demeure au cœur d’une quête dont les clés tourneraient autour d’une certaine sensualité, tout en laissant au spectateur toute sa liberté de lecture. Mais la chair qu’il explore aux plus près parait revêtir tous les aspects de la destinée humaine. Il a beau dénuder le sujet, toujours anonyme, il n’en viole jamais les secrets ni l’intimité, pas même quand il peint un couple. Quelque chose nous échappe toujours qui est de l’ordre de l’ineffable. La lumière, sous tous ses aspects se fait complice de cette recherche, faisant valoir les nuances de l’épiderme et la masse mouvante des muscles.

Luis PORQUET

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